16 Règles pour les Parents de jeunes basketteurs – Alan Stein

Par Alan Stein, préparateur physique de renommée internationale et expert de l’amélioration des qualités athlétiques en basket-ball.

Article original du 10 décembre 2013 traduit par Vincent Chetail après autorisation de Alan Stein.
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A la fois entraîneur et père, je tiens à offrir mes 16 règles pour Parents de jeunes Basketteurs:

1. Parents … Vous devez accepter le fait que ce soit le parcours de votre enfant – pas le vôtre. Ne le vivez pas par procuration à travers eux. Mettez votre attention sur le fait d’être un parent positif et encourageant.

2. Parents … Il est vrai. Les entraîneurs ont des favoris. Ils favorisent les joueurs qui donnent à l’équipe la meilleure chance de gagner, qui ont de bonnes attitudes, qui travaillent dur tous les jours, qui comprennent leur rôle (quelque soit l’importance de leur rôle). Si vous pensez qu’un entraîneur « n’aime pas » votre enfant; votre enfant a certainement une carence dans un (ou plusieurs) de ces domaines.

3. Parents … Plus on avance dans le match, plus les entraîneurs veulent gagner. Autant que possible , ils veulent gagner. Si votre enfant les aidera à gagner … ils vont jouer. Si non … ils ne joueront pas.

4. Parents … Le plus souvent, l’entraîneur de votre enfant est dans une meilleure position pour évaluer et déterminer le temps de jeu approprié, car il voit tout. Il voit les séances d’entraînement, les matchs, le déroulement du match (alors que la plupart des parents obtiennent une image incomplète parce qu’ils voient seulement les matchs).

5. Parents … Le plus souvent, grâce à leur expérience et leur formation professionnelle, les entraîneurs ont généralement un meilleur QI Basket et une meilleure compréhension générale du jeu que les parents (donc interroger un entraîneur sur les stratégies offensives et défensives ou leur capacité à juger le talent est inapproprié).

Alan Stein

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6. Parents … Arrêtez de coacher votre enfant depuis la ligne de touche. La seule «voix» depuis laquelle un joueur doit recevoir des instructions est la «voix» de leur entraîneur. Encouragez-les pour tout ce que vous voulez, mais ne les coachez pas. Ca n’est pas votre travail.

7. Parents … Vous aimez votre enfant plus que tout au monde. Vous voulez toujours ce qui est le mieux pour lui (ce qui est compréhensible et respectable). Toutefois, l’obligation d’un entraîneur est de faire ce qui est mieux pour l’équipe. Dans de nombreux cas, ce que vous voulez pour votre enfant et ce qui est le meilleur pour l’équipe ne sont pas convergents.

8. Parents … Il ne faut jamais discuter du temps de jeu, stratégie ou des choix concernant un autre joueur avec l’entraîneur de votre enfant. Jamais. Ces trois domaines sont une terre sacrée.

9. Parents … La politique politicienne ne donnera jamais du temps de jeu à votre enfant. Je vous promets, cette déclaration n’a jamais été dite par un entraîneur dans l’histoire du basket-ball, « Je dois vraiment faire jouer Jeffrey plus parce que sa mère pense qu’il ne joue pas assez. »

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10. Parents … Vous devriez encourager votre enfant à communiquer tous les problèmes, questions ou préoccupations qu’il a (ou vous avez) directement avec leur entraîneur en l’incitant à planifier une réunion. Dans ma conviction, en tant que parent, vous avez le droit d’assister à cette réunion, comme un simple observateur, mais la discussion doit se situer entre votre enfant et l’entraîneur.

11. Parents … Ne critiquez pas l’entraîneur de votre enfant en voiture pendant trajet de retour à la maison ou à table lors du dîner. Les commentaires agressifs subtils et passifs comme « Ton entraîneur ne sait pas ce qu’il fait ! » ou « Je ne peux pas croire que tu ne joues pas plus ! » ne conforte pas votre enfant (même si je suis sûr que c’est votre intention) – Cela leur permet d’avoir une mauvaise attitude et de trouver des excuses … les deux sont inacceptables.

12. Parents … Si votre enfant ne reçoit pas le temps de jeu qu’il pense mériter ou s’il perd un match difficile … utilisez cette expérience comme un puissant outil d’enseignement. Apprenez-leur à s’en servir. Enseignez-lui ce qu’il peut faire à l’avenir pour éventuellement obtenir un résultat différent.

13. Parents … Arrêtez de réprimander les arbitres. Cela donne un mauvais exemple et vous donne l’air stupide. Les arbitres font du mieux qu’ils peuvent. Dans la plupart des cas, l’arbitre est mieux placé et possède une meilleure connaissance des règles pour donner un meilleur coup de sifflet qu’un parent ne l’aurait fait. Et je vous promets que cette déclaration n’a jamais été dite non plus « Pouvons-nous arrêter le jeu? Je suis désolé tout le monde. La maman grande gueule dans les tribunes a raison, quelqu’un a bel et bien fait faute sur son fils lors la dernière action ».

14. Parents … Il est très peu probable que votre enfant devienne un joueur professionnel. En fait, statistiquement, seulement un très petit pourcentage d’entre vous ont des enfants qui joueront dans un Centre de Formation. Alors laissez-les profiter de leur parcours. Ils arrêteront de jouer au basket bien avant que vous n’y pensiez. Utilisez le basket-ball comme un moyen pour enseigner les leçons de vie dont ils auront besoin quand ils grandiront.

15. Parents … Ne poussez pas votre enfant trop dur. OK pour encourager. OK pour suggérer. OK pour maintenir votre enfant à un très haut niveau d’excellence … mais ne les obligez pas à faire des « tirs supplémentaires» ou faire des séances d’entraînement supplémentaires. Cela doit venir d’eux, pas de vous. S’ils choisissent de faire ces choses de leur propre initiative, soutenez-les. S’ils ne le font pas, s’ils choisissent de ne faire que le strict minimum, ils finiront par apprendre une puissante leçon de vie (pas faire partie de l’équipe, pas de temps de jeu supplémentaire, etc.).

16. Parents … Une des meilleures choses que vous pouvez faire est de développer une relation de qualité avec l’entraîneur de votre enfant.

J’espère que ce post n’a pas été trop dur ou condescendant – ce qui n’était certainement pas mon intention.

Je voulais simplement partager quelques réflexions constructives pour aider les parents à profiter pleinement de l’expérience d’avoir un enfant qui joue au basket-ball.

Profitez de votre expérience de parents,

TRAIN HARD. FUEL SMART. GET BETTER.

Alan Stein

Article original : 16 Rules for Basketball Parents

(Crédits photos : blog.champssports.com & d1experience.com)

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27 commentaires pour 16 Règles pour les Parents de jeunes basketteurs – Alan Stein

  1. Fauché dit :

    Bien lu, bien compris… et apprécié, je partage….
    JCF

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  2. Paul-Adrien dit :

    Ok… m’enfin… « Très peu probable que votre enfant devienne un joueur professionnel ».

    Il est aussi très peu probable que l’équipe devienne professionnel puisqu’un parallèle existe dans cet article entre l’équipe et le joueur.
    Dépendamment de l’âge des gamins, il est utile de faire jouer tout le monde. Si cela n’offre pas la leçon du « je dois vouloir et avoir une envie énorme de jouer » pour gagner du temps de jeu aux plus faibles, il y en aura certainement une autre qui indiquera aux meilleurs gamins que le basket est un jeu d’équipe et que chacun a son rôle à jouer. Cela apprendra aussi aux différents gamins à ne pas repousser les plus faibles et devenir hautain dans le futur.

    Chercher la gagne à tout prix est inutile et n’indiquera rien d’autres au gamin qu’il faut « tout donner pour gagner ». Cette leçon est vraie mais n’est pas forcément la plus importante. Pleins de valeurs importantes y sont tronqués: respect, amitié, altruisme et bien d’autres.

    Ce qui importe le plus ce n’est pas le résultat final à savoir la gagne ou la défaite, mais les leçons et enseignements tirés du parcours effectué.

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    • Ken Bayak dit :

      Merci pour ce commentaire très objectif, les valeurs humaines restent essentielles dans le sport et dans la vie !

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    • Luc DUVAL dit :

      Je partage tes propos, mais gagner est le propre du tous les sports et jeunes tu veux gagner, c’est normal et tu vois je fais parti d’un club de basket créé il y a 40 ans ou le file conducteur est tous doivent jouer quelque soit le niveau dans l’équipe, les plus forts partage avec les plus faibles, donc les plus fort font progresser les plus faibles et cela marche, il y a de la place pour tous et tous les ans nous avons des équipes homogènes et nos joueurs restent au club pour rester dans cette philosophie et pourtant Bcp auraient pu jouer à très bon niveau dans d’autre club.
      Un seul à franchit le pas, c’est Maxime Choplin qui joue à Cognac/Charente en National 1 et élu meilleur jeune de la saison 2012/2013 et très bien parti pour lasaison 2014/2015 en meneur qu’il est, mais il oublit pas son club formateur.
      Maintenant c’est comme partout, il ta des bons et mauvais parents…
      Sportivement.

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      • nico dit :

        Je rejoins les deux visions, mais j’ai cette impression qu’en France, et là c’est un ressenti pas une certitude, nous opposons apprentissage/plaisir et compétitivité. Si je lis l’article, sans lire entre les lignes, je ne vois rien de choquant dans les propos. L’auteur rappelle le rôle des parents qui est là pour la partie « aide et réflexion » de l’enfant, ne pas juger, amener son enfant à aller vers l’entraîneur… qui lui en échange est là pour faire progresser chaque enfant, dans un contexte où ils doivent chercher à gagner et à progresser, sans perdre de vue des valeurs.
        Si je lis entre les lignes, à chaque ligne il y a un encouragement à la compétition et au droit « divin » de l’entraîneur… j’exagère.
        Pour moi, chacun a sa place et les enfants au centre du cursus de formation, nier qu’il y a des différences de niveaux dans une équipe et vouloir faire la même chose avec les enfants me paraît être une erreur.
        Pour la partie « choquante » la règle 3, une question ouverte : pensez vous que le fait de faire jouer tout le monde sur la fin de match, avec des enfants n’appréhendant pas l’activité de la même manière (compétiteur, là pour les copains, stressé, etc…) ne nuisent pas à tous les parties et empêchent les enfants d’avoir un rapport positif à ce moment fort du match?
        (pour éviter une lecture entre les lignes, notre job d’éducateur, serait donc comment faire pour armer chaque enfant à jouer ce moment avec de la réussite, et donc pouvoir faire jouer tout le monde.)

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  3. Flo dit :

    Bonjour,

    Très belle vision que vous avez donné du rôle qu’un parent doit avoir avec un enfant basketteur cependant, il y a juste remarque qui dérange. C’est ce qui concerne l’arbitrage. Certes, les arbitres font ce qu’ils peuvent mais d’un côté, ils sont tellement différent les uns des autres et que la plupart sont réellement nul. (Je parle en connaissance de cause) . Maintenant comme vous le dites, nous ne sommes pas là pour critiquer l’arbitre et donc supporter notre enfant mais nous pouvons quand même avoir une certaine vision de jeu et ainsi montrer à l’arbitre que des fois il se peut qu’il ait tord.

    en tout cas, encore merci pour cet excellent article et à bientôt j’espère pour d’autres utiles comme celle ci!

    cordialement,

    Flo.

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    • Sylvain Clem dit :

      Bonsoir, oui mais une fois sifflé, c’est sifflé et on ne peut pas revenir en arrière. Je joue au Basket depuis 35 ans et des erreur d’arbitrage j’en ai vu des milliers et toujours remarqué que très très très très très rare sont les parents ou joueurs a signalé une erreur qui les désavantage. Je ne le fait pas non plus mais quand il y a une erreur sur une de mes actions je sais qu’il y en aura une autre a mon avantage dans l’autre sens, car les arbitres à défauts d’être bon sont honnêtes. De plus une erreur d’arbitrage n’a jamais fait perdre un match, si l’on regarde les lancés francs généralement on trouve où sont le 2 ou 3 points qu’il manque pour la victoire. Le problème c’est que les jeunes prennent l’habitude de critiqué l’arbitrage et trouve ça assez pratique pour ne pas avoir à ce remettre en cause. Je dis toujours aux jeunes qui ce plaigne d’une faute pas sifflet ou sifflet à tord à 4 secondes de la fin « T’es à 100% au lancé et sur les shoots facile? 0 balle perdu? Si oui alors tu peux gueuler si non mardi et vendredi soir tu sais quoi bosser… « . Généralement ils pensent que je suis un vieux con parce qu’ils savent que j’ai raison et qu’ils n’ont pas envie de l’entendre

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  4. Blabla dit :

    Je trouve que plusieurs de ces conseils mettent en évidence une contradiction dans l’ensemble de ce post : on ne sait pas aux parents de quels « types de joueurs » vous vous adressez.
    -Si vous parlez des joueurs de bas niveau : je ne suis pas d’accord sur le fait que les parents n’ont pas leur mot à dire sur le coaching, ils payent une licence à leur enfant et si celui-ci se retrouve sur le banc 90% du temps, en particulier chez les jeunes (j’entends avant cadet), les parents ont raison de râler. Évidemment, il faut le faire avec courtoisie mais un coach doit savoir que les résultats n’importe pas tant que ça à ce niveau. Ce qui compte c’est, tout d’abord, que les jeunes prennent du plaisir, et, deuxièmement, qu’ils évoluent dans ce sport. Ne pas faire jouer un jeune joueur va à l’encontre de ces deux points.
    -Si vous parlez des joueurs de plus haut niveau (au moins minimes régions (et encore je pense plutôt cadet nation…)) alors je suis globalement d’accord mais certain conseils n’ont pas lieu d’être.

    Enfin tout ça pour dire qu’il faut se méfier de l’importance que l’on donne à la compétition, et à l’importance de gagner, particulièrement chez les tout jeunes.
    Ca aboutie à des joueurs écoeurés et à des talents gachés.

    Un joueur de petit club, de petit niveau, que l’on a pas écoeuré, et qui ne compte pas s’arrêter 🙂

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    • MO dit :

      Bonsoir,

      J’ai lu votre commentaire et je peux comprendre que vous êtes en désaccord avec certains principes. Je pense que le coach doit être clair dès le début de saison avec les joueurs et les parents. Parfois, j’ai eu des équipes vraiment compétitif et dans ce cas ceux qui ont le plus de temps jeu, c’est les leaders de l’équipe. Il est important de laisser sa chance à tout le monde. Mais dans certaines situations le dosage est délicat.
      Cependant, les parents s’impliquent énormément dans le basketball, on dirait parfois qu’ils veulent une seconde chance car eux-même non pas réussi. Les parents choisissent le club dont leurs enfants vont rejoindre. Ils vont s’engager à respecter les consignes de l’entraîneur. Le fait que les parents paient une licence n’est pas un critère qui leurs donnent tous les droits. C’est les parents ne sont pas contents, ils demandent la lettre de sortie et un éventuel remboursement et ce sont des choses qui arrivent. Les parents sont les chefs du domicile familiale et sur le terrain seul le coach décide.
      Après je précise que l’entraîneur doit exposer ses objectifs et sa philosophie aux parents dès le début de saison. S’ils ne sont pas content tant pis ils ont au moins été avertis .

      L’équilibre n’est pas évident à trouver. Qu’est ce que vous en pensez ?

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      • Téo dit :

        Bonjour,

        Joueur et parent d’un jeune joueur (benjamin) je suis globalement en accord avec ce que vous dites. Toutefois ces réflexions partent du principes que le coach est bon… et ce n est pas toujours le cas ! Si il y a des parents insupportables sur le bord du terrain, si les arbitres font parfois des erreurs, si les enfants ne seront pas tous des joueurs pro alors il faut accepter également que les entraîneurs qui ne sont pas parfait non plus.
        Ni dans leur coaching ni dans leur capacité a communiquer de façon intelligente, didactique et compréhensible avec les parents de joueurs et parfois même avec les enfants. Le rôle d un parent n’est pas uniquement de régler le problème de frustration que peux engendrer les décisions du coach concernant le temps de jeu, le coach lui doit pouvoir expliquer ses choix à ses joueur surtout aux jeunes. Et ce n est pas toujours le cas.
        En résumé je dirais que ces conseils sont idéal lorsque les décisions du coach sont comprises, admises et respectées par tous et c’est au coach de rendre ses décisions indiscutables. La confiance, comme le temps de jeux, se mérite pour le joueur, pour le parent et pour le coach. Ça ne peux pas fonctionner en sens unique.

        C’est un débat passionnant sur les qualités pédagogique que doit avoir un coach de jeunes.

        crodialement.

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  5. fred dit :

    bonjour
    Je suis tout à fait en accord avec cet article. je suis entraîneur de rugby minime et parent.Mon fils est sélectionné au pole espoir rugby.

    Je pense que cela s’applique à tous les sports.

    La fraternité, la convivialité (avant et après les matchs ou en stage de préparation), le respect de l’adversaire, de l’arbitre, de ses coéquipiers et des entraîneurs sont des valeurs qui leurs permettront d’être accompli dans leur vie personnelle.

    Votre enfants sera heureux et respectueux si vous le laissé vivre sa propre expérience.

    Je vais l’imprimer et l’afficher dans le club house.

    Merci et bonne journée

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  6. 17 – parents …fuyez les entraineurs qui se prennent pour des sergents précheurs.

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  7. Lina dit :

    Entraîneur, demandez à nos enfants s’ils on fait leur devoir scolaire avant de venir à l’entraînement!!!

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  8. valmax1 dit :

    Quand je vois l’article par Alan Stein, je me vois en tant que père.
    Juste une chose, il devrait être affiché dans tous les clubs de basket ou les parents insultent le coach et l’arbitrage pour déstabiliser l’autre équipe.

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  9. hohahi dit :

    Mon fils fait du basket depuis 3ans il est chez les poussins 1er année j assisté à tous les entraînements et compétition le souci de l entraîneur c est la gagne à tout prix donc nous avons 4 deuxième année qui n à prenne rien aux autres car entre pas faire de passe ou jouer entre soi ça ne fait pas avancer grand chose se donner en spectacle devant les autres ils sont très fort .. pour chaque match entraîneur en choisi 10 on se demande pkoi car entre ceux qui restent sur le banc et ceux qui rentre 20 secondes sur un match sa me met en colère car on ne donne pas la chance au moins fort et moi sa me fait mal pour les gamins car on fait jouer tjrs les mêmes et lors des entraînements il n y a pas de mixité fort faible pourtant mon fils adore mais commence à être plus motivé

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  10. Ping : Comment choisir le bon entraîneur pour votre enfant ? – Brian McCormick | basketballcoachbob

  11. Ping : Entraîner n’est pas crier | basketballcoachbob

  12. Michael94 dit :

    Article très réducteur, simpliste et qui ne regarde que l’intérêt du coach et du club. C’est évident que plus on s’écrase, plus l’entraîneur est libre de son coaching et mieux il se porte.
    Il y a tellement de chose à dire que je n’en ai ni la force ni la patience. Je trouve écoeurant comme certains coachs flinguent certains gamins alors que ces garçons ont la passion du basket dans le corps, dorment avec leur ballon à côté d’eux, jouent même quand il n’y a pas entraînement et le comble, ont un certain talent. Pourquoi ? En vrac, il fait 10 cm de moins que d’autres (sans être un nain non plus), parce qu’il ne la ramène pas, est discret ou timide, parce qu’il n’a ni père, ni frère anciens joueurs du club… J’ai remarqué que les garçons qu’on envoie au pôle sont la plupart suivis dès l’âge de 8 ans. Incompréhensible !!! Naturellement, quand on suit des gamins dès qu’ils ont 8 ans, et bien…. On ne voit qu’eux. Les autres, ils peuvent faire ce qu’ils veulent, on ne les remarque pas, on ne les remarque plus… On les écoeure.
    Les seuls qu’on daigne intégrer le circuit des « élus » sont « LES GÉANTS ». On se moque éperdument s’ils savent jouer au basket, on verra bien. Il y en a bien un ou deux qui sortiront du lot.
    Quand on me parle d’assiduité aux entraînements, d’être bon à l’école, de se relever quand on s’en prend plein la gueule … Je peux vous dire qu’il y a des gamins qui suivent ce parcours de combattants sans une once de reconnaissance.

    Enfin, et c’est ma conclusion : vos 16 règles, je les ai toujours suivi à la lettre. Et c’est bien mon grand regret.

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    • gendre dit :

      Je suis tout à fait d’accord avec vous…Ma fille de 15 ans qui « joue »au basket depuis 6 ans vient d’être écoeurée par son coach ….pas de parents anciens joueurs,pas de piston…elle est restée sur le banc les deux premiers quarts temps et quand elle s’en est plainte,le coach l’ a rabrouée…elle n’a pas fini le match…Voilà. …avec des coachs décérébrés. ..

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  13. blavier dit :

    désolé mais cette article n a rie avoir avec des enfants ,c est le style de coach qui voit le court terme gagner et puis c est tous ..et ou est l envie de l enfant,? l apprentissage ?.. le plaisir de faire du sport? un gamin ou une gamine se souviendra d un coach qui lui à enseigné un geste mais de la victoire qui ont eu en benjamin??? . un coach gagne quand l enfant a plaisir a revenir a l entrainement et pas quand papa ou maman viens lui dire super ont a gagner PFFFF jusque minimes un ou une joueuses dois avoir un temps de jeu raisonnable sauf si l enfant n est pas present ou correct a l entrainement

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  14. Ping : JA Melesse Basket | Être parent de basketteur.. - JA Melesse Basket

  15. Sylvain Clem dit :

    Je joue au basket depuis 35ans jamais une technique ou pire. Quand mon fils a débuté le basket il était dans un club où comme vous écrivez le coach était là pour gagner. Mon fils jouait 90% du match car il était très à l’aise en dribble et très adroit. En fin de saison quand on m’a donné les papier pour qu’il renouvel sa licence j’ai dit « non ». En baby basket, poussin on est pas là pour gagner mais pour prendre goût au jeu et apprendre ce qu’est une équipe. Je lui ai trouvé un autre club ou il a appris parfaitement les bases du basket, il y a appris la solidarité avec ses coéquipiers( Ronny Turiaf à commencer le basket à 14 ans et aujourd’hui il joue en NBA alors y’a pas le feu pour devenir pro).
    Cette année il a demandé à intégrer une classe basket (j’étais pas trop chaud) par goût du jeu pas pour gagner mais pour maîtriser le ballon et pouvoir prendre du plaisir en jouant.
    ça n’empêche pas qu’il aime gagné mais il n’est pas bouleversé par la défaite car il sait que ce n’est pas son dernier match et qu’il va pouvoir construire dessus.
    C’est le seul point de critique de vos règles, sur la tactique l’arbitrage rien à dire ici comme sur la touche 😉 .
    Le respect des entraîneurs, des arbitres, des joueurs adverses, des spectateurs adverses aident nos enfants, à rester dans le match et à mieux accepter la défaite.

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  16. Mestal dit :

    Je suis absolument pas d’accord avec cet article qui fait passer la compétition avant tout.
    Le sport est, et doit resté, un divertissement ou l’on s’amuse et l’on prend du plaisir. Principalement pour les enfants, à plus forte raison, si les niveaux des joueurs diffèrent. C’est idéal pour introduire et développer les valeurs d’aide, de soutien, de partage. Les enfants doivent apprendre à s’amuser tout en visant l’atteinte d’un objectif collectif. Je suis désolé. Un entraîneur devrait promouvoir cela, et non la compétition féroce afin d’exclure les plus faibles. Triste leçon de vie dont vous êtes porteur.

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  17. Seb dit :

    Débutant comme coach pour un groupe de jeunes U9 demain matin, je venais voir sur la toile si je pouvais y glaner deux ou trois conseils simples pour ne pas trop me fourvoyer. S’il y a des attitudes de coach que je n’espère pas avoir, c’est bien celles que vous décrivez ici : autant je comprends qu’il est certainement plus aisé d’être un coach respecté par les parents, encore faut-il être un coach respectable ! Où est le respect des gamins en devenir (avant d’être des basketteurs en devenir) dans certaines des attitudes que vous semblez avoir : votre attitude est même condamnable, vous n’aidez pas les enfants à s’améliorer dans leur sport et encore moins à grandir, vous vous appuyez uniquement sur ceux qui ont déjà des aptitudes. Notre rôle est à mon sens de tirer vers le meilleur le collectif et non l’individuel, d’apprendre aux  » plus forts  » à respecter les « moins forts », à tenter de gagner en équipe et non en s’appuyant sur un ou deux éléments. Je suis tout à fait d’accord avec les commentaires qui disent que, à l’âge de nos enfants, l’essentiel pour les parents est que chaque enfant de l’équipe ait quasi le même temps de jeu, d’amusement et de plaisir finalement, quel que soit son niveau. Bref, vous l’aurez compris, en tant que parent et que futur coach de jeunes, je ne suis pas du tout d’accord avec vous …

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